Oui, j'ai été enceinte d'une madeleine au citron. Mind-about-you
Les volutes de fumée.
Mind-about-you
Les volutes de fumée.
Lundi 5 décembre 2011 à 20:03
Oui, j'ai été enceinte d'une madeleine au citron. Lundi 5 décembre 2011 à 19:56
La réalité n'existe pas, elle n'est que le script de ce que l'on se fait dans sa tête. Elle est totalement relative.
Je suis moi un jour, je suis autre le jour suivant. Sur scène ou dans la vie, qu'est-ce donc qui n'est pas mascarade, maquillage, déguisement, théâtralisation, exhubérance et invention. Balzac parlait de la comédie humaine. Sommes nous réellement ce que nous sommes, n'avons nous pas envie de nous libérer de nos chaines, être des autres pour un temps, être soi-même pour plus longtemps. Nous nous imbibons des autres. Je suis ivre des autres, ivre de toi, ivre de tendresse, ivre de colère, à mes heures perdues ou indues, ivre d'amour. L'ivresse n'est qu'une façon de voir la réalité.
Elle voit le monde à travers des yeux différents tous les jours. Des yeux d'enfants avec leur capacité de s'émerveiller sans cesse. Des yeux de femme, des yeux critiques, des yeux mesquins, des yeux remplis de compation, de tendresse, d'amitié, de maladresse, de peur, de tristesse. Elle voudrait que tous ses sens soient reliés pour dévorer des yeux le monde entier et s'emmitouffler dans les odeurs ocres en cette période. Sa réalité à elle, elle est belle et savoureuse.
Je suis moi un jour, je suis autre le jour suivant. Sur scène ou dans la vie, qu'est-ce donc qui n'est pas mascarade, maquillage, déguisement, théâtralisation, exhubérance et invention. Balzac parlait de la comédie humaine. Sommes nous réellement ce que nous sommes, n'avons nous pas envie de nous libérer de nos chaines, être des autres pour un temps, être soi-même pour plus longtemps. Nous nous imbibons des autres. Je suis ivre des autres, ivre de toi, ivre de tendresse, ivre de colère, à mes heures perdues ou indues, ivre d'amour. L'ivresse n'est qu'une façon de voir la réalité.
Elle voit le monde à travers des yeux différents tous les jours. Des yeux d'enfants avec leur capacité de s'émerveiller sans cesse. Des yeux de femme, des yeux critiques, des yeux mesquins, des yeux remplis de compation, de tendresse, d'amitié, de maladresse, de peur, de tristesse. Elle voudrait que tous ses sens soient reliés pour dévorer des yeux le monde entier et s'emmitouffler dans les odeurs ocres en cette période. Sa réalité à elle, elle est belle et savoureuse.
Dans Grandiose il y a Grandis et Ose!Vendredi 2 décembre 2011 à 11:24
Les enfants sont Platoniciens, si ce n'est pas beau, c'est faux.
Vendredi 2 décembre 2011 à 11:17
Par ce qu'un ventre c'est la vie. Elle est comme une mère qui enfante. Siège de nos émotions, émergeantes des profondeurs du moi. Elles sont à chaque mélodie un don de soi, un second nous, offert à tous. Nous voilà nu, montrant le nombril, livrant l'échine et l'ivresse en plus. Vendredi 2 décembre 2011 à 11:07
"Ta voix est une personne. Il te suffit de lui dire quoi faire, pas besoin de lui dire comment le faire."
Dimanche 27 novembre 2011 à 10:44
Elle ne fonctionne pas comme les chanteuses que j'ai connues, elle n'est pas autocentrée.Elle ne se rend donc pas entièrement compte de son pouvoir de séduction-ce qui fait evidemment partie de son charme. (Malzieu)
Dimanche 27 novembre 2011 à 10:33
Elle a dit un jour : "Quand on est artiste, il arrive un moment où on ne pense plus à ce que l'on fait. On se laisse porter".
La beauté de cet instant qui vous glisse entre les doigts et que vous seul pouvez déguster vous enveloppe dans une sensation proche d'un septième ciel. Les muses toutes inspirantes vous transcendent. Comment exprimer une telle sensation. Cela me semble impossible, à la fois parce que qu'on ne comprend pas soi même ce qui se passe, mais aussi parce que cela va au delà de la technique. Cet abandon total sur des courbes mélodieuses éveillant vos sens vous deshinibant à jamais.
Dimanche 27 novembre 2011 à 10:03
Dimanche 27 novembre 2011 à 10:00